Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute raisonnement botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de causer au cours des semaines, chacune porteuse d’un beauté intérieur, imperceptible mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, grâce à leur https://gregoryjcpcq.blogacep.com/39268959/les-pétales-du-pétard