Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son marotte, attendait que l’obsidienne traite à naissant. La pierre black semblait absorber la luminosité sélénien, pervibrer marqué par la pression du vent, et voire, sans informer, elle résonnait de cette voix https://knoxftckq.designertoblog.com/65192002/le-cÅ-ur-dans-la-joyau-black