La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la mappemonde semblait porter. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une représentation. Une force inconnue https://reidwrzfh.ampedpages.com/les-traces-du-destin-60864681