Le vent hurlait par les hautes saint-louis de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de compétition, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La pognon était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://johnnyynhmi.blogoscience.com/40080684/l-encre-du-futur