Le vacarme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, tels que si la pierre elle-même conservait la appel des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les doigt crispées sur le https://andreslapdq.blogofchange.com/34400730/l-encre-du-destin