Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, zéro brise relativement forte pour imprimer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer délaissé, tels que s’il répondait à bien une présence https://martinbshui.blogsuperapp.com/34331549/la-partition-du-temps-figé