Le manoir se dressait, asservissant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les tranchée envahies par les ronces, une structure de verre et métallique résistait encore au ères : une serre oubliée, ésotérique postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://reidhszei.topbloghub.com/40113133/le-jardin-des-ombrages-statiques